samedi 29 novembre 2014

Les divins secrets des petites ya-ya de Rebecca Wells


"Une danseuse de claquettes maltraite ses enfants..." Quand Vivi Walker lit dans le "Sunday New York Times" le portrait que brosse d'elle sa fille Siddy, metteur en scène à succès, elle la renie sur le champ. Afin d'aider à renouer le dialogue entre la mère et la fille, les amies intimes de Vivi finissent par la persuader d'envoyer à Siddy son album souvenir : "Les divins secrets des petites ya-ya".
Siddy va alors plonger dans l'univers des ya-ya, du nom cajun que les quatre amies se sont donné lors de leur folle jeunesse en Louisiane. Elle découvre un petit groupe à part, soudé par une amitié que rien n'a jamais pu affaiblir. A travers ces souvenirs fragmentés, Siddy découvre ainsi une image inattendue de l'exubérante Vivi, une femme meurtrie que seul le soutien indéfectible de ses amies a pu maintenir debout.

Avis et note 

12/20

Ce livre a atterri dans mes mains par hasard. Généralement je n'achète pas de livres que je ne connais pas où que je n'avais pas prévu d'acheter. 
Mais celui-ci m'a vraiment donné envie par sa quatrième de couverture assez tentante. 

Quand j'ai lu la quatrième, je me suis rappelée d'un film que j'avais pris en cours de diffusion un dimanche soir sur une chaîne perdue genre la 6ter. Et j'avais bien raison ce film de 2002 je crois, avec Sandra Bullock est inspiré de ce roman. 

Je me suis donc laissée guider par ce livre que je ne connaissais pas du tout, dont je n'avais pas eu de retours positifs ou négatifs.

Et je dois bien le dire j'ai mis 2 semaines à lire ce livre et le début a été un calvaire ! 
Je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire, les personnages ont du mal à se dévoiler, l'histoire entre Siddy et sa mère est très peu expliquée au début.
Et puis arrive le milieu du roman et ENFIN tout commence à apparaître. L'explication qu'on attendait arrive, les Yaya nous ouvrent leurs portes, leurs histoires. Et là j'ai adoré, j'ai adoré les Yaya elles sont toutes attachantes malgré leurs différences. L'auteurs distingue bien les 4 personnages. 
Nous en savons un peu plus sur l'histoire de Vivi, pourquoi elle est devenue une mère maltraitant ses enfants etc. 

Mais j'ai vraiment détesté la fin. Lorsque l'auteure cherche à trouver des excuses à Vivi et commence à la tourner en ange. 
Il faut savoir qu'elle battait ses enfants et qu'elle est alcoolique mais l'auteure donne des excuses à tout ce qu'elle a pu faire endurer à ses enfants et pour moi c'est à cet instant que le livre prend un mauvais tournant. 
C'est au final Siddy qui s'excuse auprès de sa mère et non pas l'inverse...c'est un peu le monde à l'envers ce livre.

Malgré tout j'ai vraiment adoré les passages sur l'histoire des Yaya et leurs 400 coups. 
Ce livre fait sourire mais reste néanmoins ordinaire.

Lecteurs touchés / coulés : Vous aimé les histoires d'amitié. 


On s'ennuie quand même un peu...



samedi 15 novembre 2014

Si tu me voyais maintenant de Cecelia Ahern

Une existence réglée comme du papier à musique : de son emploi du temps à ses émotions, Elizabeth a tout planifié pour ne plus souffrir. Mais lorsqu'un inconnu fait irruption dans sa vie cette mécanique si bien huilée se dérègle. Insouciant, spontané, en quête perpétuelle d'aventures, le mystérieux Ivan semble touché par la grâce. Peu à peu, la jeune femme baisse le bouclier qui protégeait son coeur et sort de sa carapace. Mais que sait-elle d'Ivan ? D'où vient-il ? Est-il vraiment celui qu'il prétend être ou n'est-il qu'une illusion ?

Avis et note

8/20


Il est vraiment rare que je note un livre aussi durement et si vraiment j'étais plus dure j'aurai mis une note nettement inférieure. Mais je respecte tellement cette auteure que je ne pourrai pas mettre en dessous.

Je pense sincèrement que ce roman est une sorte de faute de parcours de Cecelia Ahern.
Cette histoire est pour moi presque ratée.
Je m'explique.

L'histoire avait finalement tout pour faire un bon petit livre détente à la Cecelia Ahern et pourtant je me suis vraiment prise la tête à finir ce tout petit livre.
Ça raconte donc l'histoire d'Elizabeth jeune femme ayant sous son ail son neveu que sa sœur a abandonné. Travaillant entant que décoratrice d'intérieure, ne vivant que pour ça et étant malheureuse en amour, Elizabeth est une femme mal dans sa vie.
Sauf qu'un jour un homme va rentrer dans sa vie mais cet homme va s'avérait être l'ami imaginaire de son neveu. 
Vu comme ça on se dit que ce roman a toutes ses chances pour me plaire. Et bien c'est raté, les passages sont lourds de descriptions sans grand intérêt, les personnages ne sont pas assez traités pour qu'on s'y attache. Et ce qui m'a le plus choqué ce sont des bouts d'histoire bien trop vite délaissés. Par exemple l'histoire d'avec sa mère est pour moi l'une des plus importantes et pourtant elle est étudiée en deux trois mouvements !!
De plus celle avec sa sœur est encore plus survolée tout comme la relation entre son neveu et elle. 

Bref concernant le corps de l'histoire je suis carrément sceptique.

Et ce que je retiens d'encore plus mauvais ne concerne malheureusement pas l'auteure mais l'édition ! Quel manque de respect le plus total envers d'une les lecteurs et de l'autre l'auteure avec des fautes d'orthographes en veux tu en voilà. Encore pire des fautes de frappe ! Je remercie donc l'édition J'ai lu pour ce manque de professionnalisme !

Voici donc un livre que je ne conseille malheureusement à personne. 

Voilà ce que je fais à ceux qui ne respectent pas les livres 

dimanche 9 novembre 2014

Quitter le monde de Douglas Kennedy


Le soir de son treizième anniversaire, lors d'une énième dispute entre ses parents, Jane Howard annonce qu'elle ne se mariera jamais et n'aura jamais d'enfants.

Mais sommes-nous maître de notre destinée ? Une quinzaine d'années plus tard, Jane est professeur à Boston et amoureuse de Theo, un homme brillant et excentrique qui lui donne une petite Emily. A sa grande surprise, Jane s'épanouit dans la maternité. Mais la tragédie frappe et Jane, dévastée, n'a plus qu'une idée en tête : quitter le monde. Alors qu'elle a renoncé à la vie, c'est paradoxalement la disparition d'une jeune fille qui va lui donner la possibilité d'une rédemption.
Lancée dans une quête obsessionnelle, persuadée qu'elle est plus à même de résoudre cette affaire que la police, Jane va se retrouver face au plus cruel des choix : rester dans l'ombre ou mettre en lumière une effroyable vérité...

Avis et note

10/20

Belle déception. 
J'avais adoré La poursuite du bonheur, en revanche concernant celui-ci, je suis vraiment déçue et un peu surprise.

Un peu surprise parce que je n'ai pas du tout reconnu l'écriture de Douglas Kennedy par rapport au premier roman que j'ai lu de lui.
La poursuite du bonheur c'est l'envie d'aller de l'avant c'est la recherche du bonheur, de la belle vie. 
Que quitter le monde c'est tout l'inverse. C'est l'envie de partir pour toujours.

Ce livre est vraiment très déprimant je le déconseille à ceux qui n'aime lire que de belles histoires positives.
Parce que oui, je trouve que Quitter le monde est ultra pessimiste sur la vie.
En même temps le personnage de Jane est très dure. Elle va vivre tout au long de sa vie que des malheurs. 
C'est un livre très gros presque 700 pages de malheurs finalement. 700 pages de dépression totale. Et j'ai vraiment détesté cela pourtant j'ai lu beaucoup de livres tristes mais pas de cette façon. Là c'est vraiment très douloureux et sans attachements. 
Oui parce que je ne me suis pas attachée à Jane malgré ses nombreux moments de malheurs. J'ai même envie de dire que j'avais envie de la quitter au plus vite pour pas être aussi déprimée quelle.

Néanmoins je souligne le talent indéniable de Douglas Kennedy, c'est très bien écrit. Par contre je lui rapproche une chose dans son récit, c'est le fait qu'il attache beaucoup trop d'importance à des choses que je ne pensais pas intéressantes, alors que quand il se passe quelque chose de très important pour l'histoire, il fait passer ça en une page !

D'autant plus que la dernière partie du roman est pour moi inutile ! Je n'ai pas compris l'envie de l'auteur d'inclure Jane dans une enquête criminelle...Elle aura donc été tradeuse, prof, bibliothécaire et la voilà maintenant embarquée dans une histoire sordide. Je trouve que c'est trop enfoncer le couteau dans la plaie.
Faire de l'histoire de Jane, l'histoire la plus triste qu'il n'ait jamais existé.  

Je me suis trop vite lassée de ce roman.

Lecteurs Touchés / Coulés : Vous avez aimé tous les livres de Douglas Kennedy


Tout au long du roman on se dit que...


samedi 1 novembre 2014

Bilan du mois d'Octobre 2014


Goodbye October, Hello November !

Les livres nominés d'octobre 2014 sont : 

-Très chère Sadie * 11/20 
-Chroniques de San Francisco 3 *** 15/20
-Avant toi *** 16/20
-Demain est un autre jour *** 16/20


La plus belle couverture


L'histoire la plus originale


Le plus addictif


Et le SphèreAward du meilleur livre d'octobre est attribué à ....